Marie Guyart est la marquise de Sévigné de la Nouvelle-France. En fait, elle la dépasse par l’ampleur de sa correspondance, le nombre et la variété de ses correspondants, mais surtout à cause du caractère intime des lettres qu’elle adressait à son fils. Guy-Marie Oury, son éditeur moderne, a retrouvé 277 lettres d’une correspondance estimée à quelque 8 000 missives, souvent longues « comme des petits livres ». Isabelle Landy s’intéresse ici à la place de Dieu dans les correspondances de Marie de l’Incarnation et de Mme de Sévigné. Colloque sur les « Fondements théologiques et dimensions prophétiques d’une « vie selon le Christ » » enregistré les 8, 9 et 10 juin 2022 au Séminaire français de Rome.
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